La Fondation Heinrich Böll, le Réseau Tunisie Verte et plusieurs dynamiques environnementales appellent à travers ce Manifeste à des transformations socio-écologiques pour un sursaut écologique!
Le bilan de la décennie 2021-2011 en matière de l’encadrement législatif et institutionnel de l’environnement reste mitigé.
Surtout que la mise en application législative, institutionnelle et opérationnelle de ces acquis constitutionnel n’a pas suivi.
Face à l’essor des événements publics et privés depuis 2011, il est urgent d’intervenir afin de lutter contre l’impact écologique de l’événementiel en Tunisie.
Ce travail vise à simplifier les concepts et à présenter les problèmes et les lacunes du projet de loi, en se basant sur le droit constitutionnel à l'eau, et à présenter la situation actuelle du secteur de l'eau et son importance sociale, environnementale et économique.
El Makina: La voie du développement durable...
Pendant la période de la crise sanitaire, l’actualité a mis le point sur le rôle du pouvoir central Vs le pouvoir local.
La police de l'environnement représente une nouveauté dans la législation tunisienne liée à la décentralisation, compte tenu de l'absence d'une telle structure dans la loi organique des communes de 1975, et cela peut s'expliquer par l'absence de la dimension environnementale et son importance dans cette loi, le législateur n'attribuant à la commune que des dispositions environnementales limitées qui reflètent la conscience limitée de l'environnement à l'époque concernant cette question.
Dans ce contexte, la Fondation Heinrich Böll publie une étude sur la police de l'environnement préparée par Afef Hammami Marrakchi et Issam Ben Hassan, dans le but d'expliquer et de clarifier le concept de police de l'environnement.