La Tunisie post-révolutionnaire est synonyme de liberté d’expression mais aussi d’immobilisme social aux yeux de ses jeunes. Ils souhaitent franchir ces multiples frontières sociales.

Othmane est technicien et salarié depuis 9 ans. Les mobilités vers l’Algérie mènent à des nouvelles relations et des expériences professionnelles.  

Haroun est célibataire, « diplômé-chômeur » et bénévole au Croissant Rouge depuis 2011. Il rêve de devenir un entrepreneur.  

La jeune Tunisienne Alyssa compte sur ses contacts à l’étranger pour s’en sortir. Elle se formepour ne pas rester « au pied du mur ».

Dans le domaine des politiques migratoires en Méditerranée, l’expansion de la zone grise est symptomatique de rapports fortement asymétriques entre États.