Après avoir officialisé sa Intended Nationally Determined Contribution (INDC1) en Nationally Determined Contribution (NDC2) en 2015, la Tunisie devait de nouveau l’actualiser en augmentant ses ambitions. hbs Tunis a développé une lecture critique avec deux experts pour traiter différents aspects liés à la CDN de la Tunisie.
Découvrez notre rapport: "L'hydrogène vert: Critères de réussite d’un commerce et d’une production durables". Plongez dans une synthèse basée sur des consultations en Afrique et en Amérique latine, explorant les opportunités et les défis du commerce international de l'hydrogène vert.
L'étude examine la politique énergétique et l'importance du rôle des énergies renouvelables en Tunisie, en s'appuyant sur les enquêtes menées dans trois gouvernorats: Jendouba, Kebili et Tataouine. Dans une deuxième partie, la politique énergétique des 4 pays de la région MENA, la Tunisie, le Maroc, l'Égypte et la Jordanie est comparée dans le but d'identifier les cadres réglementaires des politiques proactives pour le développement des énergies renouvelables et d'en tirer des leçons pour l'avenir.
Après avoir ratifié l’Accord de Paris en février 2017, la Tunisie fait face à sa concrétisation à travers son NDCs (Nationally DeterminedContributions). Voici des recommandations politiques pour l’implémentation de l’Accord et sa mise oeuvre à l’échelle nationale et régionale.
Comment des consommateurs normaux peuvent-ils comprendre les effets causés par leur consommation de viande ? Combien de personnes réalisent que notre demande de viande est directement responsable du défrichement de la forêt amazonienne ? Sommes-nous conscients des impacts de l’élevage industriel sur la pauvreté et la faim, les déplacements de populations et la migration, sur le bien-être animal, ou sur le changement climatique et la biodiversité ?
Plus d'un quart de siècle après l’explosion du réacteur nucléaire de Tchernobyl, la première catastrophe la plus importante du nucléaire civil, un événement comparable vient de se produire à Fukushima au Japon. La catastrophe de Fukushima a re-focalisé l’attention du monde sur les dangers réels de l’énergie nucléaire. Alors que notre mémoire collective était justement en train de faire passer Tchernobyl aux oubliettes.