La Fondation Heinrich Böll, le Réseau Tunisie Verte et plusieurs dynamiques environnementales appellent à travers ce Manifeste à des transformations socio-écologiques pour un sursaut écologique!
Après avoir officialisé sa Intended Nationally Determined Contribution (INDC1) en Nationally Determined Contribution (NDC2) en 2015, la Tunisie devait de nouveau l’actualiser en augmentant ses ambitions. hbs Tunis a développé une lecture critique avec deux experts pour traiter différents aspects liés à la CDN de la Tunisie.
Le bilan de la décennie 2021-2011 en matière de l’encadrement législatif et institutionnel de l’environnement reste mitigé.
Surtout que la mise en application législative, institutionnelle et opérationnelle de ces acquis constitutionnel n’a pas suivi.
Face à l’essor des événements publics et privés depuis 2011, il est urgent d’intervenir afin de lutter contre l’impact écologique de l’événementiel en Tunisie.
La Fondation Heinrich Böll publie un guide sur la jurisprudence du tribunal administratif dans le domaine environnemental et urbain local (2 Tomes), rédigé par Afef Hammami Marrakchi et Issam Bin Hassan. Cet ouvrage rassemble plus de quatre-vingt-dix décisions judiciaires.
La Fondation Heinrich Böll publie un guide sur la jurisprudence du tribunal administratif dans le domaine environnemental et urbain local, rédigé par Afef Hamami Marrakchi et Issam Ben Hassan. Cet ouvrage rassemble plus de quatre-vingt-dix décisions de justice.
La police de l'environnement représente une nouveauté dans la législation tunisienne liée à la décentralisation, compte tenu de l'absence d'une telle structure dans la loi organique des communes de 1975, et cela peut s'expliquer par l'absence de la dimension environnementale et son importance dans cette loi, le législateur n'attribuant à la commune que des dispositions environnementales limitées qui reflètent la conscience limitée de l'environnement à l'époque concernant cette question.
Dans ce contexte, la Fondation Heinrich Böll publie une étude sur la police de l'environnement préparée par Afef Hammami Marrakchi et Issam Ben Hassan, dans le but d'expliquer et de clarifier le concept de police de l'environnement.
Ce travail vise à simplifier les concepts et à présenter les problèmes et les lacunes du projet de loi, en se basant sur le droit constitutionnel à l'eau, et à présenter la situation actuelle du secteur de l'eau et son importance sociale, environnementale et économique.
Le guide de recours des associations environnementales aux juges permet aux associations d’être bien équipées par les points d’ordre réglementaire et par les procédures des recours devant les tribunaux administratifs ou les tribunaux spécialisés. Elles sauront quelles sont les étapes à suivre et comment la loi leur permet d’agir dans le cadre de leurs activités.
Depuis 1950, 9,2 milliards de tonnes de plastique ont été produites, soit une tonne par habitant à l’heure actuelle sur la planète. Le plastique, matière peu chère à produire, et pratique, est omniprésent dans nos vies et dans nos écosystèmes.
Qui sont les responsables de la crise plastique, et quelles sont les alternatives pour sortir de notre dépendance à ce matériau omniprésent ? Quels sont les leviers politiques et à quelles échelles pour soutenir ces alternatives ? Ce sont autant de questions auxquels cet Atlas tente de répondre. La version francophone de cet Atlas est le fruit d’un partenariat entre les bureaux de Paris, Dakar, Rabat et de Tunis de la Fondation Heinrich-Böll Stiftung, la Fabrique Écologique et le mouvement Break Free From Plastic.
L'étude examine la politique énergétique et l'importance du rôle des énergies renouvelables en Tunisie, en s'appuyant sur les enquêtes menées dans trois gouvernorats: Jendouba, Kebili et Tataouine. Dans une deuxième partie, la politique énergétique des 4 pays de la région MENA, la Tunisie, le Maroc, l'Égypte et la Jordanie est comparée dans le but d'identifier les cadres réglementaires des politiques proactives pour le développement des énergies renouvelables et d'en tirer des leçons pour l'avenir.
Le document présenté analyse et reflète les difficultés et les défis auxquels sont confrontées les autorités locales suite à la promulgation du code le 9 mai 2019. En outre, des recommandations aux élus locaux sont formulées, qui peuvent servir de point de départ commun pour une réflexion plus approfondie.
La pollution marine représente un problème mondial. En Tunisie, le pays où le tourisme joue un rôle important dans l’économie, ce sujet devient de plus en plus problématique, vu l’effet de la pollution sur le dit secteur, mais encore sur l’environnement et la santé.
Les mers et océans recouvrent plus des deux-tiers de notre Planète. Riches en ressources, ils fournissent à l’homme nourriture, énergie et minéraux. Indispensable à la stabilité de notre climat, l’océan joue un rôle économique et écologique important.
L’environnement constitue en Tunisie un enjeu majeur pour le développement et la survie du pays. Même si le sujet fait rarement la une des médias et qu’il occupe une visibilité peu importante dans le paysage politique tunisien, la réalité sur le terrain est chaotique. Tous les gouvernorats du pays sont touchés par des problèmes de pollution qu’elle soit industrielle (Gafsa, Gabes, Sfax), ménagère en milieu urbain (Grand Tunis, Nabeul, Kasserine) ou touchant les espaces naturels (Jendouba, Bizerte, Tataouine).
Ce guide vise à soutenir l'action environnementale locale en mettant en évidence les défis et opportunités qui se présentent aux autorités locales en Tunisie.
Le projet ou faut-il dire « les projets » du code des collectivités locales (CCL) est au coeur de l’actualité depuis plusieurs années. En effet, et depuis la Constitution du 27 janvier 2014 aucun autre texte de loi n’a fait couler autant d’encre. Nationalement répondu, internationalement suivi, présent dans la conscience de nos concitoyens, envahissant le monde juridique, politique et médiatique, le projet du CCL est très attendu. Les débats autour de son contenu qualifié de «trop ambitieux » pour certains et de « décevants » pour d’autres expliquent le retard enregistré pour son adoption. La décentralisation n’est-elle pas le vecteur de la gouvernance locale urbaine et environnementale pilier de développement local?
Après avoir ratifié l’Accord de Paris en février 2017, la Tunisie fait face à sa concrétisation à travers son NDCs (Nationally Determined Contributions). Voici des recommandations politiques pour l’implémentation de l’Accord et sa mise oeuvre à l’échelle nationale et régionale.
Le 22 Mai 2017, la fondation Heinrich Boell a invité les Membres de la Commission Parlementaire de l'Industrie, de l'Enérgie, des Ressources Naturelles, de l'Infrastructure et de l'Environnement pour une séance d’audition d’experts sur la réforme du code des hydrocarb
Une première en Tunisie: un sondage sur la situation environnementale réalisé par la fondation Heinrich Böll en partenariat avec le bureau d'études One to One
Depuis la révolution, la Fondation Heinrich Böll accompagne le processus transitionnel en Tunisie. Le contexte politique actuel offre l’opportunité aux organisations de la société civile et au public de s'organiser et de débattre sur ces questions fondamentales.
La Fondation ambitionne de s'impliquer davantage sur ces thématiques, aux côtés des élus et des principales organisations de la société civile, en apportant son appui technique aux débats et projets de réforme à venir.
Cette étude publiée par Heinrich Boll Stiftung Afrique du Nord Tunis dresse un état des lieux du potentiel en gaz de schiste de la Tunisie. Rédigée entre octobre 2014 et mars 2015, cette étude qui se veut scientifique tout en étant accessible à tout public, retrace également certaines expériences comparées tout en prenant en compte les spécificités tunisiennes pour y faire part des conséquences sanitaires, environnementales et sanitaires qui s’y rattachent.
Le 14 Mars 2017, la députée Allemande du groupe des verts Julia Verlinden, a donné une présentation de la politique énergétique sur la législation Allemande autour de l’exploitation du gaz et huile non-conventionnel (« Fracking »).
A l'occasion de l'année internationale des Sols , la fondation heinrich Böll et l'institut "Institute for Advanced Sustainability Studies" viennent de publier en langue Anglaise et Allemande un Atlas de sols qui démontre qu'a cause de l'utilisation abusive des sols, nous perdons chaque année autour de 24 milliards de tonnesde sols fertiles.
La présente étude, fruit d’une collaboration entre la Fondation Heinrich Böll, l’Institut Wuppertal pour le Climat, l’Environnement, l’Energie et l’Université de Rostock, entend apporter une contribution au thème de la conférence de Rio +20. L’accent y est mis sur les interactions entre les technologies vertes qui contribuent à accélérer la transition vers une économie verte, la demande qui s’ensuit pour davantage de matières premières essentielles et les enjeux socio-politiques mondiaux qui y sont liés.
Comment des consommateurs normaux peuvent-ils comprendre les effets causés par leur consommation de viande ? Combien de personnes réalisent que notre demande de viande est directement responsable du défrichement de la forêt amazonienne ? Sommes-nous conscients des impacts de l’élevage industriel sur la pauvreté et la faim, les déplacements de populations et la migration, sur le bien-être animal, ou sur le changement climatique et la biodiversité ?
Plus d'un quart de siècle après l’explosion du réacteur nucléaire de Tchernobyl, la première catastrophe la plus importante du nucléaire civil, un événement comparable vient de se produire à Fukushima au Japon. La catastrophe de Fukushima a re-focalisé l’attention du monde sur les dangers réels de l’énergie nucléaire. Alors que notre mémoire collective était justement en train de faire passer Tchernobyl aux oubliettes.